Avez vous une nourrice parmi vos aïeules à Roquevaire au XVIII siècle?
Nous vous répondrons bientôt au cours de l'exposition.
Beaucoup
d'enfants mourraient "encore au lait", et ces mères, de famille souvent
nombreuse, ayant perdu leur bébé, prenaient alors un bébé (enfant de
riches marseillais ou de l'hôtel Dieu) et le nourrissaient. Ce sont ceux
qui, par la suite morts, nous permettent de connaître ces nourrices dont
le nom apparait dans l'acte de sépulture.
On en retrouve en 1743
Honorade O(u)rgnon qui au mariage de sa protégée dit l'avoir "alitée,
nourrie et entretenue depuis plus de 20 ans", une petite marseillaise
orpheline de la période de peste?
2019 11 ACC
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