Après la guerre de 14-18, les
bidasses ont enfin eu le temps de se distraire. A cette époque sans
radio ni télévision, la chanson occupait une grande place.
Entre 1928 et 1930, un chasseur alpin de Grenoble a soigneusement noté les chansons qu'il connaissait en les agrémentant de dessins de sa main.
Entre 1928 et 1930, un chasseur alpin de Grenoble a soigneusement noté les chansons qu'il connaissait en les agrémentant de dessins de sa main.
On en entend parfois encore quelques unes: "ça,c'est Paris", "Riquita" ou "la fille du bédouin".
Dans les rues, on vendait des feuilles imprimées avec les paroles des chansons à la mode.
J Cot 2017-02
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