Voilà l'explication de la coutume qui choquait notamment les Roquevairois en 1833
https://asphcr13.blogspot.com/2018/07/visage-nu-1833.html
"Au VIIIe siècle, les Francs utilisaient « une béra ». C’était une civière sur laquelle on plaçait les blessés ou les morts. Au XIIe siècle, le mot est resté : lorsqu’on a commencé à placer les défunts dans un cercueil, « béra » est devenu « bière ». On était donc « mis en bière » », expliquait Stéphane Bern, en septembre 2020, au micro d’Europe 1, dans l’émission « Historiquement vôtre ».
Vous l’aurez donc compris, autrefois, le mot « béra » désignait
une civière. Cette planche en bois servait à porter les blessés et les morts. À
l’époque, les corps des défunts étaient inhumés avec la « béra ».
Puis, au fil des siècles, cette sorte de brancard a été remplacée par le
cercueil. C’est à ce moment-là que le terme funéraire, « béra », a
laissé place au mot « bière ». D’où l’origine de l’expression mise en
bière." https://www.ouest-france.fr/culture/histoire/savez-vous-dou-vient-lexpression-mise-en-biere-on-vous-repond-a7e4fae2-77ce-11ee-b7ba-95ef9cb6f5e8
exposition 2021 Roudoule 06 photo ACC |
Définition de "enfeu" nom utilisé dans un document sur la chapelle Saint Vincent : niche funéraire à fond plat ménagée dans un mur pour abriter un tombeau (dictionnaire Larousse)
Celui supposé dans la chapelle Saint Vincent (à droite), est vertical sa base pourrait correspondre au sol "initial" (à confirmer)
https://www.cnrtl.fr/definition/enfeu
2024 01 ACC
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