Ce fait divers est commenté le 24 11 1842 dans Le Censeur : journal de Lyon, politique, industriel et littéraire, N°2479, puis dans le Mémorial d'Aix du 19 3 1843, et finalement dans la Gazette des tribunaux: journal de jurisprudence et des débats judiciaires du 31 3 1843.
http://data.decalog.net/enap1/Liens/Gazette/ENAP_GAZETTE_TRIBUNAUX_18430331.pdf
Le prévenu roquevairois passe en cours d'assises pour viol meurtre et tentative de meurtre, il est intéressant de voir que la justice n'a pas beaucoup changé....
Condamné d'abord à 20 ans de travaux forcés, il s'en tire avec " meurtre sans préméditation, circonstances atténuantes 5 ans de travaux forcés"
Un drame familial : l'assassin veuf convoitait sa cousine germaine. La jeune fille blessée (4 fois) en voulant défendre sa mère (égorgée), renonce à se dire violée, POURQUOI : après quelques "conseils" du juge de paix, la demoiselle étant déshonorée, autant se taire!
2021 04 ACC.