En 1779, mémoire de M Bernard directeur adjoint de l'observatoire de la marine.
En bref:
Une étude comparative des sols, des fossiles par les naturalistes permet de savoir où se trouvent les veines de houille, ce sont les sites peu profonds qui sont étudiés, les autres nécessitent une évacuation problématique des eaux,
Les ouvriers ont fait des observations dont on tient compte, leurs appellations sont en provençal. Ils appellent "mouphete" le gaz inodore et incolore qui tue (monoxyde de carbone). Ce problème arrive surtout au cours des grandes chaleurs (les physiciens l'étudient), les conseils de premiers secours existent déjà. On ventile aussi les mines.
Tout autour de Roquevaire, le charbon de terre est présent.
Le grand chemin de Toulon à Aix à une petite distance de Roquevaire, a été "ferré" avec les pierres qui renferment les coquilles et qui avoisinent les mines.
A Lascours, une mine avait été exploitée.
A Valdonne, une mine brûle depuis plus de 50 ans. La mine de la Galère est exploitée à Belcodène
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k96168695/f121.image.r=roquevaire
Source : recueil de l'Académie des belles lettres sciences et arts 1779 1780; mémoire de M Bernard directeur adjoint de l'observatoire de la marine
AUTRE : Etude économique sur les charbonnages de Provence du XVI au XIX è siècle - de Gerin Ricard page 119
Origine de la propriété minière en Provence avant 1789, on y retrouve le notaire Rancurel page 144
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k98156457/f134.image.r=roquevaire
2020 ACC
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